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WEIS Margaret Baldwin
Pseudo de Edith Baldwin
Née en 1948 à Independence, dans le Missouri, Margaret Weis obtint un diplôme de littérature dans l’université du Missouri, dans la ville de Columbia. Puis elle devint journaliste et publia son premier livre, « Frank et Jesse James » en 1981. Un peu plus tard, après un déménagement, elle devient rédactrice en chef chez TSR Inc., les créateurs du jeu de rôle « Donjons & Dragons ». C’est un peu plus tard qu’avec Tracy Hickman elle publie les premiers romans du cycle de la série « Chroniques de Lancedragon » qui se vendirent à plus de vingt millions d’exemplaires à travers le monde. Elle enchaîna ensuite avec d’autres séries de Fantasy écrites en collaboration avec Hickman, puis avec son ex-époux Don Perrin, ou sur son seul nom, comme celle de « Dragonvarld ». Des contrats de films sont en discussion pour plusieurs de ses romans, notamment pour les « Chroniques » qui devraient être adaptées en dessin animé
HICKMAN Tracy (Usa)
Pseudo de Tracy Raye Hickman
Né à Salt Lake City, dans l’Utah, aux Etats-Unis, en 1955, Tracy Hickman est un mormon convaincu. Marié avec Laura Curtis depuis 1977, il a réalisé avec elles de nombreux jeux de la série « Donjons & Dragons », ainsi que le roman « Mystic warrior » en 2004. Mais sa collaboration la plus marquante est celle qui l’amena à écrire avec Margaret Weis les premiers romans de la série « Dragonlance » qui furent suivis d’autres trilogies situées dans le même univers, ainsi que d’autres cycles de fantasy tels que celui des « Portes de la mort », de « L’épée noire » et de « La rose du prophète »
◊ Dragons d'une nuit d'hiver(Roman) High Fantasy / Dragons
Bragelonne-Milady, 8/2008 — 472 p., 21,50 € — Ser. : Chroniques de Dragonlance 2 — DragonLance Chronicles 2.Dragons of winter night, TSR 1985 — Tr. : Laurent Queysi — Couv. : Matt Stawicki — ill. : Denis Beauvais — Poèmes : Michael Williams
Précédente publication :
Bragelonne-Milady, 8/2008 — 472 p., 21,50 € — Ser. : Chroniques de Dragonlance 2 — DragonLance Chronicles 2.Dragons of winter night, TSR 1985 — Tr. : Laurent Queysi — Couv. : Matt Stawicki — ill. : Denis Beauvais — Poèmes : Michael Williams
Précédente publication :
● Carrere-Lancedragon 2, 5/1987 sous le tire L'Histoire des dragons 2 — 418 p., 13,57 € — Tr.: François Lebras & Olivier Meyer — Couv.: Larry Elmore
● Fleuve Noir-Legend LanceDragon 2, 3/1996 — 375 p., 6.40 € — Ser.: La trilogie des Chroniques 2 — Tr. : Dominique Mikorey — Couv. : Larry Elmore
→ L’hiver suit l’automne et, dans le catalogue des saisons, cette dernière est la plus rude. Pas étonnant dés lors que les épreuves auxquelles est confrontés la compagnie de héros dont nous avons fait la connaissance dans le premier tome des Chroniques de Dragonlance deviennent de plus en plus dures. D’autant plus que, face à l’avancée irrésistible des Dragons, ils sont obligés de se séparer. Tandis que Tanis, le demi-elfe, poursuit son chemin en compagnie des jumeaux Raistlin et Caramon, Sturm, le chevalier en quête d’idéal, Laurana, la princesse elfe et Tass le Kinder s’en vont de leurs côtés afin de remplir leur mission : retrouver et ramener avec eux les orbes draconiens seules capables de manipuler les démoniaques créatures de l’armée de Takhisis, la Reine des Ténèbres. Parmi ces objets de puissance, nos valeureux combattants finissent par mettre la main sur un anneau qui pourrait leur permettre de faire basculer le sort des armes en leur faveur. Mais, pour cela il faut le contrôler, ce que ne parvient pas à faire Raistlin sans l’aide du vieux mage Fizban, ambitieux et rusé à la fois. Tandis que le cœur du récit s’éloigne de Lunedor, de Rivebise, de Flint Forgefeu, et même de Tanis, le principal protagoniste du cycle, les sentiments continuent de jouer un rôle prépondérant dans ce second volume de la Séquence Fondatrice de la série Dargonlance, nous faisant partager les affres d’une Laurana partie à la recherche de son amour d’adolescente, la curiosité d’un Tass toujours sur la brèche ou les désillusions d’Un Sturm face à la découverte des sombres intrigues minant la Chevalerie à laquelle il aspire. Des trajectoires qui s’intègrent dans un background à la Tolkien, avec le Silvanesti pour les étendues forestières d’Eriador, une compagnie prompte à la séparation, des draconiens en guise de hordes de Mordor, un anneau à la puissance maléfique, un mage rappelant Gandalf, un Kender s’apparentant aux Hobbits et un Sturm affichant quelque part un peu du noble cœur et de la tristesse d’Aragorn. Epuisé par les périls, menacé par les trahisons, le groupe de héros désormais affaibli par son morcellement devra se frayer un chemin à travers des territoires envahis par les dragons au sein desquels les peuples, depuis toujours divisés par leur méfiance et leur haine ancestrale, continuent de batailler seuls au lieu de s’unir face à leurs redoutables assaillants. Présenté en grand format, dans une nouvelle traduction et avec une couverture différente de l’édition de poche du Fleuve Noir, ce roman continue d’explorer un vaste cycle romanesque maintenant formé d’une cinquantaine de titres, tous inspirés par le célèbre jeu de rôles Donjons & Dragons. Si Weis et Hickman sont à l’initiative des premiers romans de la série à partir de 1984 avec des récits racontant l’histoire de la Guerre de la Lance et de la Guerre du Chaos, une vingtaine d’auteurs se sont succédés pour poursuivre le cycle avec plus ou moins de bonheur. Chacun d’eux a pris soin cependant de se couler dans la ligne directrice de ces récits, privilégiant les dialogues par rapport aux descriptions, ébauchant des caractères bien trempés pour des personnages essentiellement manichéens qui évoluent au sein d’une intrigue riche en rebondissements et revirement inattendus, l’ensemble formant un cycle littéraire qui, au fil des années, a fait l’objet d’un véritable culte parmi ses lecteurs, au même titre que l’autre série phare des Royaumes Oubliés reprise également en traduction intégrale chez Milady.
→ L’hiver suit l’automne et, dans le catalogue des saisons, cette dernière est la plus rude. Pas étonnant dés lors que les épreuves auxquelles est confrontés la compagnie de héros dont nous avons fait la connaissance dans le premier tome des Chroniques de Dragonlance deviennent de plus en plus dures. D’autant plus que, face à l’avancée irrésistible des Dragons, ils sont obligés de se séparer. Tandis que Tanis, le demi-elfe, poursuit son chemin en compagnie des jumeaux Raistlin et Caramon, Sturm, le chevalier en quête d’idéal, Laurana, la princesse elfe et Tass le Kinder s’en vont de leurs côtés afin de remplir leur mission : retrouver et ramener avec eux les orbes draconiens seules capables de manipuler les démoniaques créatures de l’armée de Takhisis, la Reine des Ténèbres. Parmi ces objets de puissance, nos valeureux combattants finissent par mettre la main sur un anneau qui pourrait leur permettre de faire basculer le sort des armes en leur faveur. Mais, pour cela il faut le contrôler, ce que ne parvient pas à faire Raistlin sans l’aide du vieux mage Fizban, ambitieux et rusé à la fois. Tandis que le cœur du récit s’éloigne de Lunedor, de Rivebise, de Flint Forgefeu, et même de Tanis, le principal protagoniste du cycle, les sentiments continuent de jouer un rôle prépondérant dans ce second volume de la Séquence Fondatrice de la série Dargonlance, nous faisant partager les affres d’une Laurana partie à la recherche de son amour d’adolescente, la curiosité d’un Tass toujours sur la brèche ou les désillusions d’Un Sturm face à la découverte des sombres intrigues minant la Chevalerie à laquelle il aspire. Des trajectoires qui s’intègrent dans un background à la Tolkien, avec le Silvanesti pour les étendues forestières d’Eriador, une compagnie prompte à la séparation, des draconiens en guise de hordes de Mordor, un anneau à la puissance maléfique, un mage rappelant Gandalf, un Kender s’apparentant aux Hobbits et un Sturm affichant quelque part un peu du noble cœur et de la tristesse d’Aragorn. Epuisé par les périls, menacé par les trahisons, le groupe de héros désormais affaibli par son morcellement devra se frayer un chemin à travers des territoires envahis par les dragons au sein desquels les peuples, depuis toujours divisés par leur méfiance et leur haine ancestrale, continuent de batailler seuls au lieu de s’unir face à leurs redoutables assaillants. Présenté en grand format, dans une nouvelle traduction et avec une couverture différente de l’édition de poche du Fleuve Noir, ce roman continue d’explorer un vaste cycle romanesque maintenant formé d’une cinquantaine de titres, tous inspirés par le célèbre jeu de rôles Donjons & Dragons. Si Weis et Hickman sont à l’initiative des premiers romans de la série à partir de 1984 avec des récits racontant l’histoire de la Guerre de la Lance et de la Guerre du Chaos, une vingtaine d’auteurs se sont succédés pour poursuivre le cycle avec plus ou moins de bonheur. Chacun d’eux a pris soin cependant de se couler dans la ligne directrice de ces récits, privilégiant les dialogues par rapport aux descriptions, ébauchant des caractères bien trempés pour des personnages essentiellement manichéens qui évoluent au sein d’une intrigue riche en rebondissements et revirement inattendus, l’ensemble formant un cycle littéraire qui, au fil des années, a fait l’objet d’un véritable culte parmi ses lecteurs, au même titre que l’autre série phare des Royaumes Oubliés reprise également en traduction intégrale chez Milady.
Les autres titres de la série :
1.Dragons d’un crépuscule d’automne
2.Dragons d’une nuit d’hiver
3.Dragons d’une aube de printemps
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