
Pseudo de Charles Lutwidge Dodgson
Né le 27 janvier 1823 à Daresbury, dans le Lancashire, le fils de pasteur Lewis Carroll fut élevé au sein d’une famille de onze enfants. Remarquablement doué pour la création littéraire, il donnait d’austères cours de mathématiques dans sa redingote guindée, il entretenait parallèlement une véritable passion pour l’art photographique et la compagnie des petites filles à qui il racontait de merveilleuses histoires. L’une d’entre elles, inspirée par la jeune Alice Liddell, alors âgée de 10 ans, devint le fameux « Alice au pays des merveilles » chef d’œuvre la littérature mondiale et véritable perle dans une chapelet d’œuvre qui cultivait le merveilleux et le non-sens. Lewis Carroll est mort le 14 janvier 1898 à Guildford, laissant derrière lui tout une série de textes qui n’ont pas cessé depuis lors d’être réédités et adaptés en livres illustrés, bande dessinées, films ou dessins animés
(Livre illustré) Jeunesse / Merveilleux
EDITIONS DE L'OXALIDE, 3/2010
EDITIONS DE L'OXALIDE, 3/2010
160 p., 45 €
TRADUCTION : Geneviève Debeuré-De Jongh, Jean-Claude Henryot & Christian Levesque
COUVERTURE & ILLUSTRATIONS : Stéphane Mourgues
● Critiques : Le Républicain Lorrain du 9/03/2010 (Julien Bénéteau-Les deux langues d’Alice au pays des merveilles)
→ Portées par le film de Tim Burton Les aventures d’Alice au pays des merveilles retrouvent une nouvelle jeunesse auprès des éditeurs français. Réédité dans de nombreux catalogues sous de nouvelles présentations, largement présent dans le domaine de la BD, le livre bénéficie aussi de nouvelles traductions qui feront le bonheur des amateurs de ce chef d’œuvre de la littérature de l’imaginaire. Après les éditions Calmann-Lévy et leur collection Interstices, qui nous proposait une nouvelle traduction de Laurent Bury avec des illustrations de Mervyn Peake, voici que les éditions nancéennes de l’Oxalide nous offrent une version bilingue qui vaut également le détours. Charles-Xavier Schäfer et Christophe Poiré, les éditeurs, ont voulu dés le départ une nouvelle traduction et non un relooking d’une ancienne traduction agrémenté d’une nouvelle couverture. Pour cela ils ont réunis trois traducteurs afin de mieux rendre compte e ce texte littéraire parsemé de poésie. De plus, afin d’apporter un regard contemporain sur le roman, ils ont décidé de le présenter à la manière « picture book » et ont dés lors fait appel à l’artiste-peinte Stéphane Mourgues qui, en moins de deux mois, à livré seize visions en couleur d’Alice reproduites dans cet ouvrage sur un papier spécial.
● Critiques : Le Républicain Lorrain du 9/03/2010 (Julien Bénéteau-Les deux langues d’Alice au pays des merveilles)
→ Portées par le film de Tim Burton Les aventures d’Alice au pays des merveilles retrouvent une nouvelle jeunesse auprès des éditeurs français. Réédité dans de nombreux catalogues sous de nouvelles présentations, largement présent dans le domaine de la BD, le livre bénéficie aussi de nouvelles traductions qui feront le bonheur des amateurs de ce chef d’œuvre de la littérature de l’imaginaire. Après les éditions Calmann-Lévy et leur collection Interstices, qui nous proposait une nouvelle traduction de Laurent Bury avec des illustrations de Mervyn Peake, voici que les éditions nancéennes de l’Oxalide nous offrent une version bilingue qui vaut également le détours. Charles-Xavier Schäfer et Christophe Poiré, les éditeurs, ont voulu dés le départ une nouvelle traduction et non un relooking d’une ancienne traduction agrémenté d’une nouvelle couverture. Pour cela ils ont réunis trois traducteurs afin de mieux rendre compte e ce texte littéraire parsemé de poésie. De plus, afin d’apporter un regard contemporain sur le roman, ils ont décidé de le présenter à la manière « picture book » et ont dés lors fait appel à l’artiste-peinte Stéphane Mourgues qui, en moins de deux mois, à livré seize visions en couleur d’Alice reproduites dans cet ouvrage sur un papier spécial.
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