
Passionné par la création d’univers, Alexis Flamand s’est décidé à coucher sur le papiers les milliers d’idées qui dévoraient son esprit. Empruntant des chemins longeant les épopées d’un Vance, d’un Zelazny ou d’un Leiber, il a développé avec « Le cycle d’Almänder » un monde original qui ne demande qu’à être exploré plus avant
◊ Le T’Sank (Roman) Fantasy Détective
L’Olibrius, 1/2008 — 372 p., 16,15 € — Ser. : Alamänder 1 — Couv. : Alexandre Dainche — Crit. : Jeu de Rôle 2 (Fréderic Thévenin)
→ Un premier roman empruntant la thématique de la fantasy détective en mettant en scène la sympathique figure de Jon Alamänder, un mage questeur, dont la spécialité est de résoudre les crimes d’origines magiques en compagnie d’un diablotin plutôt difficile à vivre. Malheureusement, il est en butte à l’administration kafkaïenne de Kungh-Bor, et se voit contraint d’aider un souverain pas vraiment agréable à trouver le responsable d’un singulier assassinat, tandis que se déploie dans l’ombre les tentacules d’un mystérieux ordre d’assassin : les T’Sanks. Après cette entrée en matière vous vous trouverez propulsé dans un univers original peuplé de pieuvres destriers, les Skorjs qui survolent des plaines macrovores étendant leurs délires herbeux sur l’équivalent d’un continent ou à YArkhan, une cité sainte si imbue d’elle-même qu’elle exigeait deux majuscules à l’écriture de son nom. Vous croiserez en route toute une galerie de personnages attachants, comme Maek, ce jeune homme en quête d’une mythique école d’exécuteurs, et vous embarquerez dans une aventure où l’humour est toujours présent, ainsi d’ailleurs que la magie que l’auteur ne traite pas comme un simple deux ex machina, mais comme une capacité primordiale plus dans la lignée du Terrremer de Le Guin que du Conan de Howard. Ajoutez des champs de blés carnivores, un demi-dieu enfoui sous une montagne, et maints autres ingrédients aussi fascinants qu’ingénieux, et vous aurez le premier tome d’une série qui pourrait être promise à un bel avenir. C’est donc avec un plaisir non simulé qu’on est invité à déambuler dans les méandres Ker-Fresnel, une forteresse digne du Gormenghast de Merwyn Peake où les complots fleurissent comme les ronces sur les chemins mal entretenus, et à partir à la rencontre d’un mage plus Merlin que Gandalf et de son diablotin Retzel devenu son compagnon de solitude depuis qu’il lui avait mangé son chat. Ouvrez ce livre et vous pénètrerez dans un univers farfelue, mais parfaitement cohérent, quez vous regretterez de quitter en refermant la dernière page d’un roman et que l’on peut obtenir directement sur le site de l’éditeur : www.lolibrius.com . Et si vous voulez en savoir plus sur ce livre, n’hésitez pas à vous rendre sur le site qui lui est entièrement consacré, à l’adress suivante : www.alamander.fr .
→ Un premier roman empruntant la thématique de la fantasy détective en mettant en scène la sympathique figure de Jon Alamänder, un mage questeur, dont la spécialité est de résoudre les crimes d’origines magiques en compagnie d’un diablotin plutôt difficile à vivre. Malheureusement, il est en butte à l’administration kafkaïenne de Kungh-Bor, et se voit contraint d’aider un souverain pas vraiment agréable à trouver le responsable d’un singulier assassinat, tandis que se déploie dans l’ombre les tentacules d’un mystérieux ordre d’assassin : les T’Sanks. Après cette entrée en matière vous vous trouverez propulsé dans un univers original peuplé de pieuvres destriers, les Skorjs qui survolent des plaines macrovores étendant leurs délires herbeux sur l’équivalent d’un continent ou à YArkhan, une cité sainte si imbue d’elle-même qu’elle exigeait deux majuscules à l’écriture de son nom. Vous croiserez en route toute une galerie de personnages attachants, comme Maek, ce jeune homme en quête d’une mythique école d’exécuteurs, et vous embarquerez dans une aventure où l’humour est toujours présent, ainsi d’ailleurs que la magie que l’auteur ne traite pas comme un simple deux ex machina, mais comme une capacité primordiale plus dans la lignée du Terrremer de Le Guin que du Conan de Howard. Ajoutez des champs de blés carnivores, un demi-dieu enfoui sous une montagne, et maints autres ingrédients aussi fascinants qu’ingénieux, et vous aurez le premier tome d’une série qui pourrait être promise à un bel avenir. C’est donc avec un plaisir non simulé qu’on est invité à déambuler dans les méandres Ker-Fresnel, une forteresse digne du Gormenghast de Merwyn Peake où les complots fleurissent comme les ronces sur les chemins mal entretenus, et à partir à la rencontre d’un mage plus Merlin que Gandalf et de son diablotin Retzel devenu son compagnon de solitude depuis qu’il lui avait mangé son chat. Ouvrez ce livre et vous pénètrerez dans un univers farfelue, mais parfaitement cohérent, quez vous regretterez de quitter en refermant la dernière page d’un roman et que l’on peut obtenir directement sur le site de l’éditeur : www.lolibrius.com . Et si vous voulez en savoir plus sur ce livre, n’hésitez pas à vous rendre sur le site qui lui est entièrement consacré, à l’adress suivante : www.alamander.fr .
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