
Pseudo de Gillian Rubinstein
Née en Angleterre en 1942, Gillian Rubinstein a passé son enfance entre le Royaume Uni et le Nigeria avant de s’installer en Australie en 1973. Diplômée de l’Université d’Oxford elle est passionnée de culture japonaise, ce qui l’a conduit à écrire la cycle du « Clan des Otori » publié sous le pseudonyme de Lian Hearn, Lian en rappel de la son prénom gilLian, et Hearn en hommage au grand Lafacadio Hearn auquel elle voue une grande admiration
◊ Le fil du destin (Roman) Aventures Fantasy
Gallimard Jeunesse-Hors série Littérature, 1/2008 — 600 p., 23 € — Ser. : Le clan des Otori 5 — Tales of the Otori 5.Heaven’s net is wide, Hachette Australia, Sydney 2007 — Tr. : Philippe Giraudon — Couv. : Christian Broutin — Crit. : http://www.actusf.com/ (Pierre Demetz)
→Venu clôturer majistralement une série dépaysante sur le Japon féodal, ce cinquième tome du Clan des Otori s’inscrit en fait en prélude au premier opus de la série, Le silence du rossignol. En quelques 600 pages il va nous raconter la vie du jeune Shigeru avant sa rencontre avec Tomasu. Ainsi le lecteur peut mieux appréhender la suite des événements qui constitueront la série proprement dite. Formé à l’art de la guerre et de la dissimulation, Shigeru dont normalement succéder à son père. Mais ce dernier meurt lors de la bataille de Yaegahara l’opposant au clan rival de Lida. Shegeru est mis à l’acart et ses oncles règnent à sa place. Feignant la soumission, le jeune homme prépare cependant sa veangeance dans l’ombre, comme son enseignement lui a appris. Vivant en reclus, et bien que surveillé en permanence, il parvient toutefois à nouer des liens avec les mystérieux Invisibles, et fait la connaissance de Dame Maruyama, dont il tombe amoureux. Mais c’est en apprenant qu’une jeune garçon vivant dans les mlontagnes parmi les Invisibles ressemble étrangement aux Otori, qu’il comprendra que le temps est venu d’obtenir répararation. Il partira donc à sa recherche et baptisera Takeo celui qu’il considère comme le sel capable de détruire la puissance de Lida. La fin d’un conte fantastique à la Shogun venant éclairer toute l’histoire du clan et fournir de précieuses informations sur cette splendide épopée. A noter que les éditions Gallimard proposent également les titres de la série en CD audio.
→Venu clôturer majistralement une série dépaysante sur le Japon féodal, ce cinquième tome du Clan des Otori s’inscrit en fait en prélude au premier opus de la série, Le silence du rossignol. En quelques 600 pages il va nous raconter la vie du jeune Shigeru avant sa rencontre avec Tomasu. Ainsi le lecteur peut mieux appréhender la suite des événements qui constitueront la série proprement dite. Formé à l’art de la guerre et de la dissimulation, Shigeru dont normalement succéder à son père. Mais ce dernier meurt lors de la bataille de Yaegahara l’opposant au clan rival de Lida. Shegeru est mis à l’acart et ses oncles règnent à sa place. Feignant la soumission, le jeune homme prépare cependant sa veangeance dans l’ombre, comme son enseignement lui a appris. Vivant en reclus, et bien que surveillé en permanence, il parvient toutefois à nouer des liens avec les mystérieux Invisibles, et fait la connaissance de Dame Maruyama, dont il tombe amoureux. Mais c’est en apprenant qu’une jeune garçon vivant dans les mlontagnes parmi les Invisibles ressemble étrangement aux Otori, qu’il comprendra que le temps est venu d’obtenir répararation. Il partira donc à sa recherche et baptisera Takeo celui qu’il considère comme le sel capable de détruire la puissance de Lida. La fin d’un conte fantastique à la Shogun venant éclairer toute l’histoire du clan et fournir de précieuses informations sur cette splendide épopée. A noter que les éditions Gallimard proposent également les titres de la série en CD audio.
Les autres titres de la série :
1.Le silence du rossignol
2.Les neiges de l’exil
3.La clarté de la lune
4.Le vol du héron
5.Le fil du destin
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