(Roman) Aventures
Fantasy /Mythologie japonaise
AUTEUR : Lian HEARN (Angleterre)
EDITEUR : GALLIMARD-Pôle
Fiction 114, 11/2017 — 689 p., 9.80 €
SERIE : Le clan des Otori 5
TO : Tales of the Otori 5.Heaven’s net is wide,
Hachette Australia, Sydney 2007
TRADUCTION : Philippe Giraudon
COUVERTURE : Yuko Shimizu
Précédente publication :
● Gallimard-Hors
Collection, 1/2008 — 600 p., 23 € — Couverture de Christian Broutin
●
Gallimard-Folio 4932, 6/2009 — 704 p ., 9.49 €
Autres titres de la série : 1.Le
silence du rossignol – 2.Les neiges de l’exil – 3.La clarté de la lune – 4.Le
vol du héron
→ Venu clôturer magistralement une série dépaysante
sur le Japon féodal, ce cinquième tome du Clan des Otori s’inscrit en fait en
prélude au premier opus de la série, Le silence du rossignol. En quelques 600
pages il va nous raconter la vie du jeune Shigeru avant sa rencontre avec
Tomasu. Ainsi le lecteur peut mieux appréhender la suite des événements qui
constitueront la série proprement dite. Formé à l’art de la guerre et de la
dissimulation, Shigeru dont normalement succéder à son père. Mais ce dernier
meurt lors de la bataille de Yaegahara l’opposant au clan rival de Lida.
Shegeru est mis à l’écart et ses oncles règnent à sa place. Feignant la
soumission, le jeune homme prépare cependant sa vengeance dans l’ombre, comme
son enseignement lui a appris. Vivant en reclus, et bien que surveillé en
permanence, il parvient toutefois à nouer des liens avec les mystérieux
Invisibles, et fait la connaissance de Dame Maruyama, dont il tombe amoureux.
Mais c’est en apprenant qu’un jeune garçon vivant dans les montagnes parmi les
Invisibles ressemble étrangement aux Otori, qu’il comprendra que le temps est
venu d’obtenir réparation. Il partira donc à sa recherche et baptisera Takeo
celui qu’il considère comme le sel capable de détruire la puissance de Lida. La
fin d’un conte fantastique à la Shogun venant éclairer toute l’histoire du clan
et fournir de précieuses informations sur cette splendide épopée qui devait
être une trilogie au départ. A noter que les éditions Gallimard proposent
également les titres de la série en CD audio.
Lian Hearn est le pseudo de Gillian
Rubinstein, née en Angleterre en 1942, qui a passé son enfance entre le Royaume
Uni et le Nigeria avant de s’installer en Australie en 1973. Diplômée de
l’Université d’Oxford elle est passionnée de culture japonaise, ce qui l’a
conduit à écrire le cycle du « Clan des Otori » publié sous le pseudonyme de
Lian Hearn, Lian en rappel de la son prénom Gillian, et Hearn en hommage au
grand Lafacadio Hearn auquel elle voue une grande admiration.
Autres couvertures :
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