
Pseudo = Kathryn Lasky Knight, E.L. Swann
Née en 1944 aux Etats-Unis, Kathryn Lasky fut d’abord enseignante et éditrice, avant de se lancer dans l’écriture, seule ou avec son mari. On lui doit de nombreux romans pour la jeunesse, dont la série « Les gardiens de Ga’Hoole » inspiré de sa passion pour les chouettes et les hiboux
◊ Le guet-apens (Roman) Jeunesse / Fantasy Animalière
Pocket-Jeunesse 1577, 1/2008 — 206 p., 8.10 € — Ser. : Les gardiens de Ga’Hoole 5 — Guardian’s of Ga’Hoole 5.The shattering, Scholastic 2004 — Tr.: Cécile Moran — Couv. : Richard Cowdrey
→ Dans le volume 4 de la série nous avions suivi les vaines tentatives du féroce Klud pour s’emparer du Grand Arbre de Ga’Hoole. On aurait pu le croire enfin résigné à sa défaite, mais c’était mal le connaître. La où la force ne passait pas, il avait décidé d’employer en premier temps la ruse. Bien malgré elle Eglantine, la sœur de Soren, la jeune chouette héroïne de la série sera le vecteur principal de ses plans machiavéliques. En effet, celle-ci disparaît mystérieusement de Ga’Hoole durant un long moment. Soren, mort d’inquiétude, car elle sait que quitter l’île sans aide équivaut à un véritable suicide, pousse un soupir de soulagement en la voyant enfin revenir. Mais elle déchante vite en s’apercevant que le comportement d’Eglantine a changé. Plus tard elle découvre que cette dernière a été manipulée par Klud, qui l’utilise désormais pour espionner Ga’Hoole. Consciente du danger, Soren se hâte de reformer le Super-Squad afin de mener un nouveau contre les troupes de Klud. Et le temps presse car les féroces Sangs Purs sont bien décidés cette fois à investir le refuge sacré des valeureux chevaliers. C’est sans compter cependant avec les jeunes gardiens et leur Escadrille de Feu passée maître dans l’art du combat à la torche qui permet de mettre en déroute un adversaire plusieurs fois supérieur en nombre. La suite d’une série de fantasy animalière originale et passionnante (que l’on peu rapprocher du Silverwing de Kenneth Oppel publiée chez Bayard) que Kathryn Lasky a écrite en utilisant ses notes sur les oiseaux nocturnes et leur comportement. Des notes tout d’abord destinées à alimenter un essai, mais qu’elle décida de rendre plus attractives en choisissant l’option d’un roman dont l’action se déroulerait dans un monde imaginaire créé de toutes pièces. Le succès rencontré par la parution des divers tomes du cycle prouve qu’elle a eu amplement raison de privilégier cette solution.
Pocket-Jeunesse 1577, 1/2008 — 206 p., 8.10 € — Ser. : Les gardiens de Ga’Hoole 5 — Guardian’s of Ga’Hoole 5.The shattering, Scholastic 2004 — Tr.: Cécile Moran — Couv. : Richard Cowdrey
→ Dans le volume 4 de la série nous avions suivi les vaines tentatives du féroce Klud pour s’emparer du Grand Arbre de Ga’Hoole. On aurait pu le croire enfin résigné à sa défaite, mais c’était mal le connaître. La où la force ne passait pas, il avait décidé d’employer en premier temps la ruse. Bien malgré elle Eglantine, la sœur de Soren, la jeune chouette héroïne de la série sera le vecteur principal de ses plans machiavéliques. En effet, celle-ci disparaît mystérieusement de Ga’Hoole durant un long moment. Soren, mort d’inquiétude, car elle sait que quitter l’île sans aide équivaut à un véritable suicide, pousse un soupir de soulagement en la voyant enfin revenir. Mais elle déchante vite en s’apercevant que le comportement d’Eglantine a changé. Plus tard elle découvre que cette dernière a été manipulée par Klud, qui l’utilise désormais pour espionner Ga’Hoole. Consciente du danger, Soren se hâte de reformer le Super-Squad afin de mener un nouveau contre les troupes de Klud. Et le temps presse car les féroces Sangs Purs sont bien décidés cette fois à investir le refuge sacré des valeureux chevaliers. C’est sans compter cependant avec les jeunes gardiens et leur Escadrille de Feu passée maître dans l’art du combat à la torche qui permet de mettre en déroute un adversaire plusieurs fois supérieur en nombre. La suite d’une série de fantasy animalière originale et passionnante (que l’on peu rapprocher du Silverwing de Kenneth Oppel publiée chez Bayard) que Kathryn Lasky a écrite en utilisant ses notes sur les oiseaux nocturnes et leur comportement. Des notes tout d’abord destinées à alimenter un essai, mais qu’elle décida de rendre plus attractives en choisissant l’option d’un roman dont l’action se déroulerait dans un monde imaginaire créé de toutes pièces. Le succès rencontré par la parution des divers tomes du cycle prouve qu’elle a eu amplement raison de privilégier cette solution.
Les autres titres de la série :
1.L’enlèvement
2.Le grand voyage
3.L’assaut
4.Le siège
5.Le guêt-apens
6.L’incendie
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire