dimanche 3 octobre 2010

WEIS Margaret (Usa)
WEIS Margaret Baldwin
Pseudo de Edith Baldwin

Née en 1948 à Independence, dans le Missouri, Margaret Weis obtint un diplôme de littérature dans l’université du Missouri, dans la ville de Columbia. Puis elle devint journaliste et publia son premier livre, « Frank et Jesse James » en 1981. Un peu plus tard, après un déménagement, elle devient rédactrice en chef chez TSR Inc., les créateurs du jeu de rôle « Donjons & Dragons ». C’est un peu plus tard qu’avec Tracy Hickman elle publie les premiers romans du cycle de la série « Chroniques de Lancedragon » qui se vendirent à plus de vingt millions d’exemplaires à travers le monde. Elle enchaîna ensuite avec d’autres séries de Fantasy écrites en collaboration avec Hickman, puis avec son ex-époux Don Perrin, ou sur son seul nom, comme celle de « Dragonvarld ». Des contrats de films sont en discussion pour plusieurs de ses romans, notamment pour les « Chroniques » qui devraient être adaptées en dessin animé
Une âme bien trempée
(Roman) High Fantasy
BRAGELONNE MILADY-Grand Format, 3/2010
456 p., 21,50 €
SERIE : Les chroniques de Raistlin 1
TO : Dragonlance. Raistlin chronicles 1.The soulforge, TSR, 2/1998
TRADUCTION : Isabelle Troin & Michèle Zachayus
COUVERTURE : Daniel R. Horne
Précédentes publications (crédités également à Tracy Hickman) :
● Fleuve Noir Lancedragon-Grand Format, 2/1999 — 360 p., 99 Frs — Ser. : Les préquelles de la guerre — Tr. : Isabelle Troin — Couv. : Larry Elmore
● Fleuve Noir Lancedragon 49, 1/2003 — 512 p., 6 € — Ser. : Les préquelles de la guerre — Tr. : Isabelle Troin — Couv. : Larry Elmore

→ Le mage Antimodes a deux missions : Epier chaque conversation afin de les rapporter au chef du Conclave et découvrir de nouveaux talents, de futurs mages. C’est ainsi qu’il met la main sur une perle rare, Raitslin Majere, dont la mère, possédée par la magie, est au bord de la folie, tandis que la père, bûcheron, fait de courtes apparitions dans le foyer familial ou vit également un frère jumeau Caramon, et une sœur, Kitiara. Entré dans une école de magie, Raitslin progresse vite, mais il ne manque pas de revenir chez lui l’été venu. Un domicile qu’à quitté sa sœur, Kitiara, née d’une première union, et qui, devenue une redoutable guerrière, s’est engagée comme une mercenaire afin de retrouver son vrai père. Désormais Judith, une veuve mystérieuse qui appartient à une secte adorant le dieu Belzor, a intégré, s’occupant de la mère de Raitslin jusqu’à cette dernière décède après la mort accidentelle de son mari. Alors que Judith est chassé de la maison, car elle prétendait que ces malheurs étaient survenus parce que la famille n’adorait pas Belzor, Raistlin tombe malade. Il guérit grâce à Caramon et à Kitiara, revenue parmi eux, mais qui ne parvient pas à convaincre ses frères de la suivre lorsqu’elle repart sur les chemins. Les jumeaux décident cependant de se rendre à la foire de Solace. En chemin, ils se lient d’amitié avec un nain, Flint Forgefeu, et son ami Tanis, le demi-elfe, qui deviendra l’amant de Kitiara, ainsi qu’avec Tass, le Kenders kleptomane. Ensemble, et au prix de périlleuses aventures, ils parviendront à démasque les disciples de Belzor dont le but était d’étendre leur religion sur l’ensemble du monde. Pendant ce temps, le mage Antimodes a toujours gardé un œil sur Raitslin bientôt convoqué, comme tous les aspirants mages, a la tour de sorcellerie. Là il risque de perdre la vie si sa magie n’est pas suffisante pour triompher des épreuves qui l’attendent. Mais le destin de Raitslin est désormais tracé et la route qu’il va suivre fera de lui un grand mage destiné à être autant détesté que honni. La reprise du premier volume des Chroniques de Raitslin, qui nous racontent les années de jeunesse de l’un des personnages phares de la série Dragonlance, dont Margaret Weis nous raconte la création en préambule à ce roman, tandis que son complice de toujours, Tracy Hickman, nous explique pourquoi l’histoire du Mage Noir, incarné pour la première fois dans un scénario par Terry Phillips, qui lui donna ses lettres de noblesse alors que le jeu Dragonlance n’était connu que d’une poignée d’initiés, allait devenir la chasse gardée de Margaret Weis, la seule capable d’apaiser l’esprit trouble de ce personnage hors du commun.
BIBLIOGRAPHIE (évolutive)
Série
DRAGONLANCE/LES CHRONIQUES DE RAITSLIN ou LES PREQUELLES DE LA GUERRE
1.Une âme bien trempée

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