.jpg)
Robert Anthony Salvatore est né en 1959 à Léominster dans le Massassuchetts, aux Etats-Unis. Il est surtout connu en tant qu’écrivain de Fantasy et, en particulier, par sa contribution à la série des « Royaumes Oubliés », notamment avec le cycle d’Ombre-Terre et de la Légende de Drizzt Do’Urden.
◊ Terre d’exil (Roman) High Fantasy
Bragelonne-Milady, 8/2008 — 329 p., 19,50 € — Ser. : La légende de Drizzt 2 — The legend of Drizzt 2.Exil, TSR 1990 — Tr. : Yann Chican — Couv. : Todd Lockwood
Précédentes publications :
Bragelonne-Milady, 8/2008 — 329 p., 19,50 € — Ser. : La légende de Drizzt 2 — The legend of Drizzt 2.Exil, TSR 1990 — Tr. : Yann Chican — Couv. : Todd Lockwood
Précédentes publications :
● La trilogie de l’elfe noir. Intégrale, Fleuve Noir-Les Royaumes Oublés Hors série, 11/1995 — 530 p., 34,29 € — Tr. : Michele Zachayus — Couv. : Jeff Easley — ill. : Jeff Esaley, Keith Parkinson, Larry Elmore, Fred Fields & Clyde Caldwell (gros volume cartonné avec deux cahiers d’illustrations pleine page couleur)
Fleuve Noir-Les Royaumes Oubliés 5, 6/1994 — 247 p., 6.40 € — Ser. : La trilogie de l’elfe noir 2 — Tr. : Michèle Zachayus — Couv. : Jeff Easley
→ Ecoeuré par la cruauté de ses frères, les elfes noirs ou Drows de la cité souterraine de Menzoberranzan, Drizzt Do’Urden a quitté sa famille et a choisi l’exil dans le monde cavernicole d’Ombre-Terre accompagné de Guenhwyvar, sa fidèle panthère magique. Pendant ce temps, grâce à l’aide de Jarlaxle, chef des mercenaires de la Bregan d’Aer, la Maison Do’Urden a vaincu la famille rivale des Hun’ett. Mais Matrone Malice n’a pas pour autant reconquis la faveur de Loth, la reine Araignée qui règne sur les Drows. Afin d’y parvenir, elle doit exécuter son ordre : retrouver Drizzt le renégat et le tuer. Pour cela, elle n’hésite pas à lancer sur ses traces Dinin et Btriza, son frère et sa sœur. Mais Drizzt, durant sa lutte contre les monstruosités qui hantent les couloirs sombres et silencieux d’Ombre-Terre, a endurci son caractère. Il est devenu un redoutable chasseur, une créature d’instinct capable de refréner la bête tapie au fond de lui. Des atouts non négligeables lorsqu’il faudra leur échapper, tout en respectant son serment de ne plus verser de sang elfe. Un temps réfugié chez les gnomes du roi Schnicktick, où il s’est lié d’amitié avec Belwar Dissengulp, un gnome à qui il a jadis sauvé la vie, il devra cependant affronter une menace encore plus terrible : un Zin-carla lancé contre lui par Matrone Malice, c'est-à-dire un zombie qui, tout en conservant les talents de son ancienne vie, est contrôlé par la mère matrone. Or, il s’agit de Zaknafein, le maître d’armes, le père de Drizzt, ressuscité pour causer sa perte. Nul doute que la poursuite sera impitoyable, ainsi que le combat à venir. En toute logique, la personnalité de Drizzt Do’Urden continue de monopoliser l’essentiel de ce second tome de la Légende de Drizzt. Nous assistons à son parcours initiatique au sein d’Ombre-Terre à travers un roman qui se conforme à la tradition manichéenne chère à la Fantays rôliste, tout en atteignant un paroxysme de l’intensité dramatique dans l’affrontement final du père zombie contre son fils, affrontement qui décidera du destin de Drizzt transcendé par un nouvel accouchement symbolisé par l’émergence vers la lumière de la surface. Un livre proposé par Milady en édition intégrale, contrairement à la première traduction du Fleuve Noir.
→ Ecoeuré par la cruauté de ses frères, les elfes noirs ou Drows de la cité souterraine de Menzoberranzan, Drizzt Do’Urden a quitté sa famille et a choisi l’exil dans le monde cavernicole d’Ombre-Terre accompagné de Guenhwyvar, sa fidèle panthère magique. Pendant ce temps, grâce à l’aide de Jarlaxle, chef des mercenaires de la Bregan d’Aer, la Maison Do’Urden a vaincu la famille rivale des Hun’ett. Mais Matrone Malice n’a pas pour autant reconquis la faveur de Loth, la reine Araignée qui règne sur les Drows. Afin d’y parvenir, elle doit exécuter son ordre : retrouver Drizzt le renégat et le tuer. Pour cela, elle n’hésite pas à lancer sur ses traces Dinin et Btriza, son frère et sa sœur. Mais Drizzt, durant sa lutte contre les monstruosités qui hantent les couloirs sombres et silencieux d’Ombre-Terre, a endurci son caractère. Il est devenu un redoutable chasseur, une créature d’instinct capable de refréner la bête tapie au fond de lui. Des atouts non négligeables lorsqu’il faudra leur échapper, tout en respectant son serment de ne plus verser de sang elfe. Un temps réfugié chez les gnomes du roi Schnicktick, où il s’est lié d’amitié avec Belwar Dissengulp, un gnome à qui il a jadis sauvé la vie, il devra cependant affronter une menace encore plus terrible : un Zin-carla lancé contre lui par Matrone Malice, c'est-à-dire un zombie qui, tout en conservant les talents de son ancienne vie, est contrôlé par la mère matrone. Or, il s’agit de Zaknafein, le maître d’armes, le père de Drizzt, ressuscité pour causer sa perte. Nul doute que la poursuite sera impitoyable, ainsi que le combat à venir. En toute logique, la personnalité de Drizzt Do’Urden continue de monopoliser l’essentiel de ce second tome de la Légende de Drizzt. Nous assistons à son parcours initiatique au sein d’Ombre-Terre à travers un roman qui se conforme à la tradition manichéenne chère à la Fantays rôliste, tout en atteignant un paroxysme de l’intensité dramatique dans l’affrontement final du père zombie contre son fils, affrontement qui décidera du destin de Drizzt transcendé par un nouvel accouchement symbolisé par l’émergence vers la lumière de la surface. Un livre proposé par Milady en édition intégrale, contrairement à la première traduction du Fleuve Noir.
Les autres titres de la série :
1.Terre natale
2.Terre d’exil
3.Terre promise
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire