mercredi 17 novembre 2010

COLLECTIF
Un recueil issu d'un atelier d'écriture
De la chair à l’acier
(Recueil)
ICARE-Plumes en herbe, 3/2010 — 240 p., 17,50 €
COUVERTURE : Ramton
ILLUSTRATIONS : Akae, Gawain, Isochrone & Natalia Aparicio Vuile
Critiques :
www.yozone.fr (Emmanuelle Mounier)
→ Le recueil De la chair à l’acier est une publication des éditions Icare, dans le cadre de leur collection Plumes en herbe, qui propose 10 nouvelles s’inscrivant dans le domaine de la science-fiction et du fantastique, mais dont certaines effleurent celui de la Fantasy. Au sein du premier registre nous rangerons : Allegro ma non troppo de Hans Delrue, Cortex connection de Christophe Nicolier, La barrière d’Arkhan de Luani, Les lumineux de Jan Baret, Sourire cobalt de Nicolas Eustache et Premières lignes de Nicolas Soffray. Dans le second, nous noterons deux récits inspirés par la thématique des mondes perdus, l’Atlantide en l’occurrence, avec Au large d’Ideïade de Sébastien Ruche peignant une cité futuriste où chaque nuit les habitants partent à la recherche d’ovoïdes charnels rejetés par la mer et Byblos de Natalia Aparicio Vuille, qui propose une nouvelle version de l’incendie de la grande bibliothèque d’Alexandrie vu à travers le prisme du scribe Isidoros. Ainsi que deux autres textes plus directement liés au mélange de la chair et de l’acier tenant lieu de ligne directive à cet atelier d’écriture dont sont issues ces œuvres, à savoir : L’ours et l’ombre, une fantasy celtique de Kenelm Bechon-Pearson, revisitant des jeux du cirque à l’aune de la technologie, et Une liberté au goût d’acier où Jean-Luc Saikaly met en scène Ombre, un héros assassin dont on a enchaîné l’esprit à ses armes. Un ouvrage qui propose d’intéressantes découvertes accompagnés de nombreuses illustrations que nous devons à quatre dessinateurs : Akae, Gawain, Isochrone & Natalia Aparicio Vuile.

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