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Michel Robert est né en 1964. Longtemps handballeur professionnel, il s’est reconverti dans l’édition et le journalisme, avant de passer au roman en reprenant avec bonheur la suite du cycle de « La Malrune » initié par Pierre Grimbert aux éditions Mnémos. Depuis il a publié chez ce même éditeur un cycle qui lui est propre, « L’Agent du Chaos » fantasy aux accents crépusculaires où rejaillissent ses principales influences, Jack Vance, Roger Zelazny et bien sûr Michael Moorcock
◊ Belle de mort ◊
(Roman) Dark Fantasy
POCKET-Fantasy 7015, 3/2010 — 544 p., 7,80 €
(Roman) Dark Fantasy
POCKET-Fantasy 7015, 3/2010 — 544 p., 7,80 €
SERIE : L’Agent des Ombres 5
COUVERTURE : Julien Delval
● Précédente publication : Mnémos-Icares Fantasy, 11/2007 — 384 p., 21 € — Couv. : Julien Delval
● Réédition : Mnémos-Icares Fantasy, 4/2010 — 384 p., 19.90 € — Couv. : Julien Delval (légèrement différente)
● Critiques : www.actusf.com (Pierre Demetz)
→ Comme une Stormbringer à la plus belle époque d’Elric le nécromancien de Michael Moorcock, Belle de Mort, la dague sombre de Cellendhyll, continue de se repaître de ses victimes, renforçant chaque jour un peu plus son lien télépathique avec son possesseur. En tant qu’agent du chaos, depuis le premier tome de la série, guidé par son désir de vengeance envers la Lumière, Cellendhyll a accepté de jouer les troubles fêtes au sein de la guerre perpétuelle que se livrent Lumière et Ténèbres au sein du monde des Plans, guerre arbitrée par une troisième force qui entends bien tirer bénéfice de ces affrontements : le Chaos. Dans ce cinquième opus de la série, qui vient clore un premier cycle, la dague confie une nouvelle mission à Cellendhyl, retrouver le tombeau d’Arasul, le seigneur ténébreux qui a disparu de la surface du monde depuis des décennies. Cette quête pourra ainsi permettre à notre Hors Destin de répondre à l’une des interrogations qui parcouraient les premiers tomes de la série : qu’est-ce que la prophétie d’Arasul ? Une autre interrogation devrait trouver son explication dans ce cinquième volume, celle concernant Estrée, la fille du Chaos, et l’étrange double jeu qui entoure chacun de ses actes. Une Estrée qui semble avoir de nouveau avoir rejoint les Ténèbres en passant un accord avec le Père de la Douleur, trahissant ainsi son propre clan et son profond attachement pour Cellendhyl, le tout placé sous l’ombre du terrible secret qu’elle dissimule. Alternant scènes de combats et passages purement descriptifs sans relâcher l’attention du lecteur, Michel Robert nous offre la fin d’un cycle pas aussi manichéen qu’il pourrait le paraître de prime abord et, tout en répondant à de nombreuses questions, en laisse encore suffisamment en suspens pour nous laisser présager d’une suite.
● Précédente publication : Mnémos-Icares Fantasy, 11/2007 — 384 p., 21 € — Couv. : Julien Delval
● Réédition : Mnémos-Icares Fantasy, 4/2010 — 384 p., 19.90 € — Couv. : Julien Delval (légèrement différente)
● Critiques : www.actusf.com (Pierre Demetz)
→ Comme une Stormbringer à la plus belle époque d’Elric le nécromancien de Michael Moorcock, Belle de Mort, la dague sombre de Cellendhyll, continue de se repaître de ses victimes, renforçant chaque jour un peu plus son lien télépathique avec son possesseur. En tant qu’agent du chaos, depuis le premier tome de la série, guidé par son désir de vengeance envers la Lumière, Cellendhyll a accepté de jouer les troubles fêtes au sein de la guerre perpétuelle que se livrent Lumière et Ténèbres au sein du monde des Plans, guerre arbitrée par une troisième force qui entends bien tirer bénéfice de ces affrontements : le Chaos. Dans ce cinquième opus de la série, qui vient clore un premier cycle, la dague confie une nouvelle mission à Cellendhyl, retrouver le tombeau d’Arasul, le seigneur ténébreux qui a disparu de la surface du monde depuis des décennies. Cette quête pourra ainsi permettre à notre Hors Destin de répondre à l’une des interrogations qui parcouraient les premiers tomes de la série : qu’est-ce que la prophétie d’Arasul ? Une autre interrogation devrait trouver son explication dans ce cinquième volume, celle concernant Estrée, la fille du Chaos, et l’étrange double jeu qui entoure chacun de ses actes. Une Estrée qui semble avoir de nouveau avoir rejoint les Ténèbres en passant un accord avec le Père de la Douleur, trahissant ainsi son propre clan et son profond attachement pour Cellendhyl, le tout placé sous l’ombre du terrible secret qu’elle dissimule. Alternant scènes de combats et passages purement descriptifs sans relâcher l’attention du lecteur, Michel Robert nous offre la fin d’un cycle pas aussi manichéen qu’il pourrait le paraître de prime abord et, tout en répondant à de nombreuses questions, en laisse encore suffisamment en suspens pour nous laisser présager d’une suite.
Les autres titres de la série :
1.L’ange du chaos
2.Coeur de Loki
3.Sang-Pitié
4.Hors-destin
5.Belle de Mort
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