
Né à Quito,en Equateur, en 1971, et ayant grandi en Afrique sud-Saharienne avant de s’installer avec ses parents dans le sud de la France, Alan Spade (pseudo anglo-saxon pris par rapport à l’influence d’auteurs tels que Stephen King, Tolkien, Bradbury, Lovecraft, Asimov, etc…). Pendant des années il vivra de sa plume en rédigeant des articles pour des revues de jeu vidéo avant, en 2001, de se lancer dans l’écriture proprement dite en s’inspirant de divers genres, comme la fantasy, avec un premier roman jamais publié, et « Le souffe d’Aoles » paru chez Emmanuel Guillot
◊ Le souffle d’Aoles ◊
(Roman) Aventures Fantasy
EMMANUEL GUILLOT Editions, 3/2010 — 362 p., 21 €
SERIE : Le cycle d’Aradalia 1
COUVERTURE : Thibaut Desiot
→ Pelmen doit beaucoup à la famille Boisencroix. Jusqu’à sa rencontre avec Teleg, le fils, il avait pour seule perspective la découpe de peaux de bêtes à l’aide d’un silex à la tannerie nauséabonde de son village. C’est ce nouvel ami qui lui a fait découvrir le travail du bois. Mieux encore, Galn, le père de Teleg, l’a initié au tir à l’arc, et Pelmen s’est révélé tellement doué pour cet art qu’il a réussi à infléchir la course de son destin en devenant archer. Mais un jour, de mystérieux individus entrent en contact avec Teleg dans une taverne. En lui proposant un fragment d’ambreroche, minerai précieux entre tous, et en lui promettant la richesse, les inconnus parviennent à le convaincre de s’exiler pour travailler dans une mine. Lorsque Pelmen apprend que ces personnages sont des adorateurs du feu, ennemis héréditaires, il n’hésite pas à se lancer dans l’aventure. Pour retrouver son ami et le tirer des griffes des nylevs, serviteurs du dieu de la destruction, il lui faudra surmonter bien des appréhensions et s’allier avec des êtres étranges et fantastiques : un shaman maîtrisant le souffle d’Aoles, autrement dit le pouvoir du vent, un krongos, créature de la terre capable de s’incorporer à la roche, et enfin des malians adeptes de la magie de l’eau. Alors qu’il vient d’atteindre l’âge d’hevelen, et qu’il rêve d’émancipation en dépit du refus de son père, Pelmen, à travers cette aventure pleine de dangers marquée par le sceau de l’amitié, devra trouver lui-même le chemin choisit par son destin qui l’amènera à affronter des forces occultes contre lesquelles sa maîtrise du tir à l’arc ne lui suffira sûrement pas. Un roman puissant sa source dans les mythologies et les quatre forces élémentaires qui entraîne le lecteur dans un univers imaginaire patiemment travaillé où les personnages évoluent par rapport à l’altérité de leur environnement, un peu comme dans le cycle de Tschäi de Jack Vance. Pour en savoir plus sur l’auteur on consultera avec profit son interview reprise sur le site www.lepost.fr .
→ Pelmen doit beaucoup à la famille Boisencroix. Jusqu’à sa rencontre avec Teleg, le fils, il avait pour seule perspective la découpe de peaux de bêtes à l’aide d’un silex à la tannerie nauséabonde de son village. C’est ce nouvel ami qui lui a fait découvrir le travail du bois. Mieux encore, Galn, le père de Teleg, l’a initié au tir à l’arc, et Pelmen s’est révélé tellement doué pour cet art qu’il a réussi à infléchir la course de son destin en devenant archer. Mais un jour, de mystérieux individus entrent en contact avec Teleg dans une taverne. En lui proposant un fragment d’ambreroche, minerai précieux entre tous, et en lui promettant la richesse, les inconnus parviennent à le convaincre de s’exiler pour travailler dans une mine. Lorsque Pelmen apprend que ces personnages sont des adorateurs du feu, ennemis héréditaires, il n’hésite pas à se lancer dans l’aventure. Pour retrouver son ami et le tirer des griffes des nylevs, serviteurs du dieu de la destruction, il lui faudra surmonter bien des appréhensions et s’allier avec des êtres étranges et fantastiques : un shaman maîtrisant le souffle d’Aoles, autrement dit le pouvoir du vent, un krongos, créature de la terre capable de s’incorporer à la roche, et enfin des malians adeptes de la magie de l’eau. Alors qu’il vient d’atteindre l’âge d’hevelen, et qu’il rêve d’émancipation en dépit du refus de son père, Pelmen, à travers cette aventure pleine de dangers marquée par le sceau de l’amitié, devra trouver lui-même le chemin choisit par son destin qui l’amènera à affronter des forces occultes contre lesquelles sa maîtrise du tir à l’arc ne lui suffira sûrement pas. Un roman puissant sa source dans les mythologies et les quatre forces élémentaires qui entraîne le lecteur dans un univers imaginaire patiemment travaillé où les personnages évoluent par rapport à l’altérité de leur environnement, un peu comme dans le cycle de Tschäi de Jack Vance. Pour en savoir plus sur l’auteur on consultera avec profit son interview reprise sur le site www.lepost.fr .
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